Elle a lu tous les livres.
Elle a fait des thérapies, participé à des retraites, écouté des podcasts inspirants.
Elle comprend ses blessures, ses schémas, ses peurs.
Elle sait pourquoi elle réagit ainsi.
Et pourtant… quelque chose reste.
Une tension dans la poitrine.
Un nœud dans le ventre.
Une fatigue qu’aucune pensée ne parvient à apaiser.
Parce que comprendre ne libère pas toujours ce que le corps retient.
Le corps, ce que le mental ne peut pas atteindre
Notre tête cherche des explications.
Notre corps, lui, cherche la sécurité.
Quand une émotion n’a pas été pleinement vécue, elle se fige.
Sous forme de tension, d’insomnie, de repli, d’impatience, de contrôle.
Et même si on sait que tout va bien, le système nerveux continue d’agir comme si le danger était encore là.
C’est ici que les pratiques somatiques entrent en jeu.
Elles ne demandent pas d’analyser.
Elles invitent à ressentir, libérer, intégrer.
Le breathwork permet de respirer là où le mental se heurte à un mur.
De créer de l’espace là où le corps s’était contracté.
De laisser sortir ce qui était retenu depuis trop longtemps.
De la compréhension à la transformation
Quand on passe du mental au corps, quelque chose change profondément.
On ne cherche plus à contrôler son expérience, on la ressent.
Le souffle devient un pont entre ce qu’on sait et ce qu’on vit.
Dans cet espace, les émotions trouvent enfin un chemin.
La tension se transforme en mouvement.
Et la clarté revient, non pas parce qu’on a trouvé une nouvelle explication, mais parce qu’on a permis au corps de se relâcher, de se réguler, de faire confiance à nouveau.
Pour celles qui ont “déjà tout essayé”
C’est souvent à ce moment que mes clientes arrivent.
Elles ont tout exploré avec leur tête, mais leur corps appelle.
Elles sentent qu’il est temps de descendre à un autre niveau :
celui du ressenti, du souffle, de la présence.
Mon approche ne cherche pas à te donner une méthode de plus.
Elle t’invite à revenir à toi, à ton rythme, à ton corps, à ta vérité intérieure.
Parce que c’est dans le corps que la transformation s’incarne.
Revenir au corps, ce n’est pas régresser.
C’est revenir à la source de ce qui demande à être libéré.
C’est offrir à ton mental un repos, à ton cœur une place, à ton souffle un passage.
Quand le mental s’épuise,
le corps sait.
Et dans le souffle,
tout redevient possible.