Les histoires qu’on se raconte…

Il y a des histoires qu’on se répète tellement souvent qu’elles finissent par sonner vraies.
Des phrases apprises quelque part entre l’enfance et l’âge adulte, des croyances bien ancrées, des réflexes de protection ou d’adaptation.
Des « il faut que… », des « je suis comme ça », des « j’ai toujours été… » qui deviennent des piliers invisibles de notre identité.

Mais si ces piliers étaient aussi des prisons?

Souvent, on ne se rend même pas compte qu’on les porte.
Ils vivent dans le corps : dans nos tensions, nos réactions, nos élans retenus.
Et parfois, ces histoires ne sont même pas les nôtres. Elles viennent de plus loin.
D’un système. D’un héritage. D’un moment de survie.

Et tant qu’on ne va pas les ressentir, les rencontrer… elles continuent d’agir.

On ne peut pas penser sa transformation.
On a appris à tout analyser, à tout comprendre, à tout expliquer.
Mais certaines choses ne se règlent pas avec des mots.
Tu peux parler de ton passé pendant des années…
Si ton corps n’est pas traversé, rien ne bouge vraiment.

Parce que la vraie libération ne passe pas par l’intellect.

Elle passe par la respiration.
Par le ressenti.
Par l’expérience somatique.

Ce n’est pas en pensant à ta transformation que tu la vis.
C’est en respirant à travers elle.

Il n’y a pas mille chemins pour descendre dans le corps.
Mais il y a un passage puissant :
La respiration transformationnelle.
L’exploration somatique.
Le retour à l’intérieur.

C’est là que le changement réel commence.

Et tu sais quoi?

On peut écrire. On peut faire du journaling.
Mais si on ne descend pas dans le corps, on reste souvent au seuil de nous-mêmes.

On reste dans la tête, à tourner autour du même scénario.
À expliquer, à comprendre, à espérer que ça suffira.

Mais la vérité, c’est qu’on a besoin d’habiter notre corps.
De ressentir ce qui est là.
De laisser le souffle traverser ce qui demande à être libéré.

Si tu sens que certaines histoires ne t’appartiennent plus,
Si tu sens que tu es prête à laisser tomber ce qui te contracte en dedans,
Si tu veux cesser de porter le poids de tout le monde et revenir à toi…

Alors je t’invite à plonger.

À respirer.
À t’autoriser à ressentir.
Et à découvrir ce qui devient possible quand tu n’as plus besoin de te raconter quoi que ce soit.

Parce qu’au fond, tu n’as rien à prouver.
Tu as tout à ressentir.

Avec douceur,
MJ

Une pause douce t'attend…

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