Il y a des femmes qui marchent dans le monde en silence.
Elles ne se montrent pas toujours.
Elles ne parlent pas trop fort.
Mais on les ressent. Avant même de comprendre pourquoi.
Elles portent une fréquence.
Ce n’est pas visible au premier regard.
Ni mesurable. Ni logique.
Mais c’est là.
Dans la douceur de leur voix.
Dans l’espace qu’elles ouvrent, juste par leur présence.
Dans la façon dont on se sent auprès d’elles :
plus vrai, plus calme, plus proche de soi.
Et peut-être que toi aussi, tu portes quelque chose comme ça.
Pendant longtemps, j’ai cru que je devais en savoir plus pour pouvoir accompagner.
Je voulais bien faire. Être prête. Trouver les bons mots, les bonnes méthodes.
Mais un jour, j’ai compris…
Ce que je transmets ne s’enseigne pas dans les livres.
Ça s’est imprimé dans mon corps.
Dans mes silences. Mes douleurs. Ma traversée.
C’est mon souffle qui l’a révélé.
Pas une technique.
Quand je guide, je ne récite pas un protocole.
Je laisse ma vibration faire ce qu’elle sait faire.
Je deviens un espace. Un champ.
Un miroir pour celle qui est prête à se souvenir d’elle-même.
Ma médecine est vivante.
Cellulaire. Subtile. Vibratoire.
Elle passe par la respiration, mais ce n’est pas que du breathwork.
C’est une fréquence de permission.
Une autorisation d’être.
De pleurer, de trembler, de libérer, de revenir à soi.
Parfois, il n’y a pas de mot.
Juste un frisson.
Un relâchement.
Une vérité intérieure qui remonte.
Et c’est ça, la transformation.
Et peut-être que toi aussi, tu portes une fréquence.
Tu n’as pas besoin de la nommer.
Tu n’as rien à prouver.
Ce que tu vibres est plus fort que ce que tu expliques.
Alors si tu sens qu’en toi, quelque chose attend de s’ouvrir…
Si tu sais, au fond, que ta simple présence est une médecine…
Sache que tu n’es pas seule.
Et que le monde a besoin de femmes qui vibrent vrai.
Pas parfaites. Présentes.
Ma médecine ne s’explique pas.
Elle se ressent.
MJ♥️